Voici quelques énigmes qui se présentent à nous et que je vous livre un par un…
I
La Création
« La Semence c’est l’Homme et l’Univers sa Création »
« Dans la grisaille, le brouillard, l’humidité des marais et des marécages, apparaît la graine, l’haleine de vie,
le cœur battant avec fureur avec ses mouvements et son rythme sonore.
« Signes comme des vers s’agitant, manifestations terrestres d’une volonté divine, aux images colorées d’un Jardin Terrestre introduit en Paysage Universel,
« Où se glissent toutes les bontés avec ses beautés, ses lumières et ses couleurs, ses lignes, ses formes et ses différences ; puis, des graines succédèrent à des graines,
« L’une additionnée, multipliée, répandue et expandue ; volonté universelle d’Un Tout dans la partie du jeu de cartes, avec des continents émergeant de l’Océanique universelle ;
« L’homme-enfant, selon ses désirs-caprices, s’est autoproclamé dans la divinité des Dieux, car si les Dieux peuvent être nombreux, l’Univers, lui, reste le Un, l’indi-vis-ible.
« Ainsi, l’homme dans sa volonté créatrice se désunit à la naissance et se réunit à la fin, dans l’union sacrée de la dissolution-recomposition du petit mortel à terme échu.
« Et refondu dans l’éternel incommensurable, après d’avoir créé, répandu les semences des créatures – compte signée, de l’évolution des espèces – aux quatre vents, face à l’infini.
« Se retrouve comme un fil, une ligne verticale, traversant les quatre directions sur terre, et s’en dort dans un songe plein de souvenirs, où jadis eu toutes ces apparitions.
« L’homme se souvint de ces lentes, très lentes apparitions, ces manifestations progressives appelées Vie, sortes de petits assemblages de grains, eau, boue, air et feu.
« Apparurent un à un et une à une toutes les choses appelées à être ne serait-ce qu’un instant, par la volonté divine de celui qui fit d’Adam le premier, le seul, dans son éternel Eden.
« Mais Adam se ballade au milieu des couleurs et d’une vie luxuriante. Que peut son éternité terrestre face aux limbes d’un Univers hypothétique, soit géométrique ou mathématique ?
« Passé l’enthousiasme de tant de découvertes, il s’ennuie, se languit, se déplace en pleurant sa solitude face à cet infini qui lui échappe, arrose son jardin terrestre avec ses larmes.
« Il finit par réveiller son Père, créateur de toutes ces beautés, lequel découvrant la peine de son fils, décide de mieux lui faire apprécier ses biens, de mieux se le faire voir.
« Il lui offrit deux miroirs, l’un c’était l’eau de la rivière et le deux, le bleu de l’air du ciel ; de cette manière, Adam pouvait mieux apprécier ses biens dans toutes ses apparences.
« Mais Adam restait inconsolable et peu à peu, selon la volonté de son père, tout commença à devenir ce qui s’ignore ; et l’innocence de cette ignorance devint Le Chaos.
« C’est pourquoi, le père séma l’Arbre différent, celui de l’ordre, du savoir et de la connaissance, lequel il faudrait qu’Adam apprenne à reconnaître parmi les autres.
« Ce fut ainsi, que grâce au concours de son Père Céleste, et avec tout son fervent désir, l’Adam chercha à sortir de son état de solitude éternelle dans cette création de l’Edem.
« Et l’Arbre de Vie fut, et le Père créa la femme à l’image de l’homme, ainsi qu’il avait crée Adam à l’image de soi-même, un Adam qui était lui-même, soi-même, comme Dieu, l’unique.
« Mais, ce qu’ils appelèrent, la femme devint division de l’Un, car pour la première fois, de l’Adam et du Père éternels, qui sont l’Un et Seul ou Le Même, naquit Eva.
« Ce Miroir, cette compagne, cette fille d’Adam Le Père, était immortelle comme Ádám, et le resterait toujours, à condition de n’approcher ni goûter à l’Arbre différent.
« Donc, nous comprenons maintenant, quel fut le défaut dans la création d’Adam Le Père que de livrer Eva à la tentation et par là, livrer aussi à son fils et à soi-même.
« Car goûter à l’Arbre différent, aux fruits défendus de la connaissance, implique perdre tous les privilèges de la divinité éternelle ; ce qui précisément, hélas ! Eva fit en premier.
« Donc, depuis ce temps, à part les animaux, les plantes et tous les éléments de la nature, Eva donne naissance à tous les Adam homme et à toutes les Eva du Monde Mortel. »
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[Traduction à l’espagnol
I
La Creación
« La semilla es el hombre y el Universo su Creación »
« En la monotonía, la niebla, la humedad de los pantanos y el lodo de los campos, aparece la semilla, el aliento de vida, el corazón golpeando furiosamente con sus movimientos y su ritmo sonoro.
« Signos como gusanos que se agitan, Manifestación Intra-terrestre de la voluntad divina, con imágenes coloreadas de un Jardín Extra-terrestre introducido en un Paisaje Universal,
« Dónde se deslizan todas las amabilidades con sus bellezas, luces y
colores; sus líneas, sus formas y sus diferencias; y después, las Semillas que
continúan a hacer semillas, una a una.
« Una añadida, multiplicada, generalizada y expandida; Una voluntad
universal de Un Todo en el juego de cartas, con los continentes emergentes del Oceánico-Universal;
« El hombre-niño, de acuerdo con
sus deseos y caprichos, se autoproclamó en la divinidad de los dioses, puesto
que si los Dioses son numerosos, el Universo sigue siendo el mismo: Uno, el in-di-visible.
« Así, el hombre en su voluntad creativa se desune al nacer y se reúne al
final, en la unión sagrada de la disolución-recomposición del pequeño ser
mortal llegado a su término.
« Se refunde en el eterno
inconmensurable, después de haber creado, extendido las semillas de las criaturas
confundidas en una evolución de las especies, a los cuatro vientos, frente al
infinito.
« Se encuentra como un hilo vertical, atravesando los cuatro puntos cardinales de la tierra, y se va durmiendo dentro de un sueño lleno de recuerdos, allí en donde había tenido esas apariciones.
« El hombre recordó esas lentas, muy lentas apariciones progresivas,
llamadas La Vida : especie de pequeñas acomodaciones de granos, agua, barro,
aire y fuego.
« Aparecieron una-a-una todas las cosas llamadas a ser, aunque más no fuera
que un instante, por voluntad divina de aquel que hizo a Adán el Primero y
Solo, en su Eterno Edén.
« Pero Adán se pasea en medio de los colores y una vida exuberante. Que
puede hacer su eternidad terrenal ante los limbos de un Universo hipotético,
geométrico o matemático?
« Pasado el entusiasmo de los descubrimientos, él se aburre, suspira, se
desplaza, llorando su soledad ante El Infinito que se le escapa y rocía su Jardín-Terrestre
terrenal con sus lágrimas.
« Terminó por despertar a su Padre, creador de todas esas bellezas, quien
descubriendo la pena de su hijo, decidió de hacerle apreciar mejor todos sus
bienes, de presentárselos de mejor manera.
« Él le ofreció dos espejos, uno era el agua del río y el otro el azul del
aire del cielo; de esta manera, Adán
podía apreciar mejor sus bienes en todas sus apariencias del Un visible.
« Pese a todo, Adán quedó inconsolable, y poco a poco, según la voluntad de
su padre, todo comenzó a transformarse en eso-que-se-ignora ; pero la inocencia
de esta ignorancia se convirtió en El Caos y una amenaza para la Un-Perfección.
« Fue la razón por la cual, el padre sembró el Árbol diferente, el del
Orden del saber y del Conocimiento, y el cual Adán debería aprender a
distinguir entre los otros.
« Gracias a la ayuda de su Padre celestial, y con todo su ferviente deseo, nuestro Adán inicial, intenta salir de su estado de soledad eterna en agradable compañía, en esa creación del Paraíso.
« Y el árbol de la vida apareció, y el Padre creó a La Mujer a la imagen
del Hombre, como él había creado a Adam a la imagen de Sí Mismo, un Adán que
era Él mismo-Si mismo como el único Dios.
« Pero, lo que llamaron, La Mujer se convirtió en división del Uno, ya que
por la primera vez, el Adán y el Padre eterno, quienes son Uno y Solo o el
Mismo, nació Eva, espejo de la Divinidad.
« El parecido de esta compañera, de esta hija de Adam El Padre, era en un
principio, inmortal como Adán, y lo
sería siempre, a condición de no aproximarse o probar del Árbol diferente.
« Entonces, nosotros comprendemos mejor ahora cuál fue el defecto en la
creación de Adán El Padre : entregar a Eva e la tentación y de esa manera, entregar
también a su hijo y a si-mismo a muertes programadas.
« Ya que probar del Árbol
diferente, del fruto prohibido del conocimiento, implicaba perder los
privilegios de la eterna divinidad; lo que hizo ante todo, desgraciadamente,
sin saberlo.
« Fue La Caída, y desde entonces, aparte de los animales, las plantas y todos los elementos de la naturaleza, Eva da a luz a todos los Adán-hombres, y a todas las Eva-mujeres del mundo Mortal. «
I I
La Nature
« La preuve de la perfection, fut que l’Homme eut une mère et la Femme eut un père, que donc tous les deux eurent un père et une mère : Le Père Univers et La Mère Nature »
« Pour créer La Parole qui est Le Verbe, La Nature eut à créer l’Homme, puisque sans lui, rien aurait pu être nommé ni décrit, et donc, rien n’aurait existé, ni paroles, ni plantes, ni pierres.
« Donc, La Nature qui créa l’Homme et l’Univers, sans même se le proposer, se créa elle-même en tant que Nature, en créant et dévoilant ainsi, La Parole.
« Ainsi, Mère Nature, étant la véritable patrie de l’Homme, des Animaux, des Plantes, des Pierres, des Eaux, du Feu et de l’Air du Ciel ; c’est toujours elle qui parle, à travers La Parole de l’Homme : Le Verbe.
« Et tel que la Nature fait avec la Création, l’Homme se sert de La Parole, pour révérer, prier, parler ou chanter, comme La Nature fait avec La Création, car toutes les deux sont complémentaires et indissociables.
« Et puisque la Nature est Fille de La Création, elle est aussi, Mère de toutes les choses, y compris de l’Homme ; lequel à son tour, créa Les Dieux, au travers La Parole, du Verbe énoncé à soi-même, comme récitant une prière.
« Alors, si La Parole de l’Homme a une véritable utilité, est précisément, celle de proclamer, célébrer et révérer à Dame Nature ; la plus belle de toutes les Dames de La Cour De La Création.
« La Nature, c’et l’Eau qui descend du Ciel et qui provoque les lourds mouvements de La Terre, ainsi que les imperceptibles, subtiles et légers, des insectes et de tout ce qui vole ou s’évapore, au milieu de cette immense sérénité qui est l’Univers.
« C’est aussi, Le Feu passionné de La Vie éphémère et du calme infini de La Parole, qui servent à embaumer ce qui n’est plus, dans un chant funèbre de respect abstrait et froid, tel qui est représenté par le silence des glaciers polaires.
« Ainsi, depuis La Création, Mère Nature garde à l’Homme dans son sein tout au long de sa vie. En échange celui-ci devrait toujours, protéger et veiller à La Mère Nature.
« Mais, l’Homme, en tant que Berger et Gardien Responsable de troupeaux, reste toujours un Enfant, et Dame Nature ne finit jamais de lui donner des leçons. Celui-ci, ignore toujours ce qu’on lui a appris, et n’obéit presque jamais. Ceci, finira par lui coûter La Vie, à lui et à une grande partie de La Création.
« Et ça, puisqu’il ne peut pas savoir plus que La Nature contient, en courant ainsi le risque de perdre La Vie. Ce qui devient le prix du peu qu’il sait, face à l’Immensité de ce qu’il ignore de l’Univers.
« Quelle est donc, L’œuvre de l’Univers, dont La Nature est son plus éloquente manifestation sur Terre, ainsi comme à l’autre bout de l’horizon ; là, où les Cieux se perdent dans l’Infini, au fond des Grottes et des Volcans, et ce, au milieu du Feu qui le Forge ?
« Mais, que ce soit au milieu du Feu admirable ou au milieu de l’Eau merveilleuse des Océans, si l’Homme le désire ainsi, une Perception paisible et sereine, l’accompagneront toujours au sein de La Nature.
« Et bien que La Nature soit immensément riche, elle est très économe, et sait comment préserver ses biens. Malheureusement, l’homme est dépensier, et ceci, malgré qu’il est très pauvre, fragile, et pas plus qu’un simple mortel.
« Apparemment, pour l’Univers, qui est le refuge Des Dieux dans leur éternité, El Hombre et La Nature représentent peu d’intérêt. Ce qui permet à Mère Nature de mieux s’occuper de La Terre. Par contre, l’Homme, ne saura pas quoi faire de sa liberté et finira pour tout essayer, ce qui est preuve d’un manque de sagesse.
« Car, s’il est vrai qu’avoir goûté à l’Arbre des différences de La Nature, a permis à l’homme de connaître la science des métaux, que ce soit pour faire de l’Or, de l’Eau, de l’Air, et même, pour fabriquer des Armes à Feu ;
« Toute cette connaissance ne lui a pas permis de se connaître à lui-même, car autrement, il aurait su qu’il est autant Créateur que Destructeur de Mère Nature, laquelle, en suspens et très inquiète, ne le quitte pas des yeux.
« Attention, petit bonhomme ! Les gouffres des Océans, la colère des volcans, les vents violents et l’eau envahissante, conduisent aujourd’hui toutes les créatures de La Création au recueillement, l’oraison et la prière de l’heure finale.
« Sauve Nature, et garde à ton Fils, l’Homme, comme un chiot, sur tes genoux, car il ne sait pas vraiment ce qu’il fait, il ne connaît pas encore, quelles sont ses limites exactement, mais l’heure de la repentance vient de sonner. Ainsi donc, en attendant, tremblez ! »
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Traduit à l’espagnol
La Naturaleza
«La prueba de la perfección, fue que el hombre tuvo una madre y la mujer tuvo un padre, que entonces ambos tuvieron un padre y una madre: El Padre Universo y La Madre Naturaleza»
«Pero para crear La Palabra que es El Verbo, La Naturaleza tuvo que crear El Hombre, ya que sin él, nada hubiera podido ser nombrado ni descrito, y por lo tanto, nada habría existido, ni palabras, ni plantas, ni piedras.
«Entonces, la Naturaleza que creó al Hombre y al Universo, sin siquiera proponérselo, se creó a sí misma en tanto que Naturaleza, creando y revelando, La Palabra.
«De ese modo, Madre Naturaleza, siendo la verdadera patria del Hombre, de los Animales, de las Plantas, de las Piedras, del Agua, del Fuego y del Aire del Cielo; es siempre ella que habla, a través de la Palabra del Hombre: El Verbo.
«Y como La Naturaleza hace con La Creación, El Hombre utiliza La Palabra, para venerar, rezar, hablar o cantar; como La Naturaleza lo hace con La Creación, puesto que los dos son complementarios e indisociables.
«Y si La Naturaleza es la Hija de La Creación, es también, La Madre de todas las cosas, incluido el Hombre; quien a su turno, crea a Los Dioses, a través de La Palabra, del Verbo enunciado a sí mismo, como recitando una oración.
«En cambio, si La Palabra del Hombre tiene una verdadera utilidad, es precisamente, la de proclamar, celebrar y reverenciar a Madre Naturaleza; la más bella de todas las Damas de La Corte De La Creación.
«La Naturaleza, es El Agua que desciende del Cielo y que produce los pesados movimientos de La Tierra, así como los imperceptibles, sutiles y livianos, de los insectos y de todo eso que vuela o se evapora, en medio de esa inmensa serenidad que es El Universo.
«Es también, El Fuego apasionado de La Vida efímera y de la calma infinita de La Palabra, que sirven para embalsamar lo que ya no es, en un canto fúnebre de respeto abstracto y frío, tal que es representado por el silencio de los témpanos polares.
«Es así, que después de La Creación, Madre Naturaleza guarda al Hombre en su seno todo a lo largo de su vida. En cambio, éste debería siempre, proteger y velar a La Madre Naturaleza.
«Pero el hombre, en tanto que Gran Responsable como Pastor y Guardián de rebaños, sigue siendo siempre un niño, y Madre Naturaleza no termina nunca de enseñarle. Este, ignora siempre lo que se le ha enseñado, y no obedece casi nunca. Eso, terminará por costarle La Vida, à él y a una gran parte de La Creación.
«Y ello, dado a que El Hombre no puede saber más de lo que La Naturaleza contiene, corriendo así el riesgo de perder La Vida. Lo cual se vuelve el precio de lo poco que sabe, frente a la Inmensidad de lo que ignora del Universo.
«¿Y cuál es entonces, la obra del Universo, del cual La Naturaleza es su más elocuente manifestación sobre la Tierra, así como al otro extremo del horizonte; donde, los Cielos se pierden al Infinito, en el fondo de las Grutas y de los Volcanes, y ello, en medio del Fuego que lo Forja?
«Pero que sea en medio del Fuego admirable de los volcanes o en medio del Agua maravillosa de los océanos, si El Hombre así lo desea, una percepción apacible y serena, lo acompañarán siempre en el seno de La Naturaleza.
«Y aunque La Naturaleza sea inmensamente rica, elle es muy ecónoma, y sabe cómo preservar sus bienes. Desgraciadamente, El Hombre es derrochador, y ello a pesar de ser muy pobre, frágil, y no más que un simple mortal.
«Aparentemente, para El Universo, que es el refugio de Los Dioses en su eternidad, El Hombre y La Naturaleza representan poco interés. Ello permite a Madre Naturaleza ocuparse mejor de La Tierra. En cambio, El Hombre, no sabrá qué hacer con su libertad y terminará por tentarlo todo, lo cual desgraciadamente, es prueba de una falta de sabiduría.
«Porque, si es cierto que el haber probado al Árbol de las diferencias de La Naturaleza, a permitido al Hombre de conocer la ciencia de los metales, ya sea para fabricar El Oro, El Agua, El Aire, et incluso, para fabricar las Armas de Fuego;
«Todo este conocimiento no le ha permitido conocerse a sí mismo, porque de lo contrario, habría sabido que él es tanto Creador como Destructor de Madre Naturaleza, la cual, en suspenso y muy inquieta, no le quita los ojos de encima.
«¡Cuidado, hombrecito! » Los abismos de los océanos, la ira de los volcanes, la violencia de los vientos y del agua invasora, conducen hoy, a todas las criaturas de La Creación, al recogimiento, a la meditación, y a la oración de la hora final.
«Salva Naturaleza y guarda a tu Hijo, El Hombre, como un cachorro, en tu regazo, porque realmente; él no sabe lo que hace, él no conoce aún, cuáles son sus límites exactamente, pero la hora del arrepentimiento acaba de llegar. De modo que, esperando ¡tiemblen! »
I I I
L’Amour
« Qui est ce pêcheur qui agite La Nature et La Création ? »
« C’est l’Amour, principe d’attraction et de gravité qui lie les êtres et les choses grâce à leurs fascinations réciproques. Sans lui, rien n’existerait.
« L’Amour se tient comme une canne de pêche, tel l’arc et le flèche pour la chasse ou les mains pour cueillir les fruits. C’est une activité constante entre le pêcheur, le poisson, la canne, les hameçons et les appâts.
« Tel un Cupidon avec ses outils de chasse, le pécheur vérifie la souplesse de sa canne à pèche, la résistance du fil de son propre arc tendu, qu’ira chercher la fragile créature ou proie où ira s’insérer sa flèche, l’hameçon.
« l’Amour impalpable préside mieux au sentiment des choses, en se cachant et en les réunissant sans qu’elles le sachent, puisque Dame Nature, fait avec l’homme, ce que celui-ci fait avec les animaux et les plantes : les ressembler, les nourrir et les manger.
« Comme dans le jeu des attirances, il n’est pas toujours facile de savoir qu’est-ce qu’attire et qu’est-ce qu’est attiré, à cause d’une réciprocité des besoins, et cela, malgré les attitudes souvent différentes, que conduisent à l’erreur.
« L’Amour, c’est le verbe par excellence, et dans les actes, le premier de tous : sans lui, pas de vie, ni succession, ni reproduction, ni mémoire.
« C’est l’Amour qui réunit et boucle les dernières années de la vie avec la naissance, dans un cercle d’intelligence et compréhension patiente de toute souffrance, solitude ou indifférence que les êtres puissent endurer.
« L’Amour, c’est l’action par excellence entre les êtres ; la volonté de La Création dans La Nature, et ce, malgré que chaque individu suppose agir selon sa seule volonté ; mais les nombreuses surprises de La Création, l’amènent à penser plutôt, qu’il répond à une volonté et à une réalité, autre que la sienne.
«Dans les jeux de l’Amour, il faut savoir pêcher, manier le filet, aller au large et établir des relations entre le fil de pêche tendu et l’appât, en agissant comme une proposition, comme une intention, autre que repérer les lieux, choisir les bons moments et avoir la patience d’attendre, jusqu’à sentir que ça mord, et ensuite, réussir à retirer sa prise sans que ça casse.
« Pour pêcher l’Amour, il est nécessaire de plonger au fond du cœur, dans la cible elle-même, et ensuite, comme pour toujours, demeurer suspendu d’un fil, comme un ver.
« Et ainsi, dans cet appât, rester relié à toutes les autres choses ; car si les uns et les autres s’en vont, l’amour reste éternel dans la mémoire de ceux qui viennent et se relient à lui, l’immortel Amour.
« S’il y a beaucoup de passion dans les jeux de l’Amour, cette agitation ne dure qu’un moment, le restant du temps, c’est le calme et la sérénité.
« L’Amour est fidèle et soutient, guide et cautionne La Nature, rend éternelle la mémoire de réalisation de tout ce qui fut, dans ce qui aujourd’hui est. Ce sont ces activités dont Amour s’inspire.
« Ainsi, ce qui relie Fille Nature à Mère Création, c’est Amour : fils de l’Homme et Origine de toutes les choses, car Engendrement c’est Amour, et il n’y a pas de l’un sans l’autre.
« Un jeu sans cesse renouvelé de s’attacher par les extrêmes, par le sexe de toutes les choses, car X c’est la multiplication, c’est la fécondité, l’épanouissement de la vie, l’Être avant la lettre.
« Et lettre, avant l’Être, l’Amour c’est l’union du Père, de la Mère et du Fils, de la Vie et de la Mort ; c’est la loi de La Nature, de La Création et de l’Univers, à travers le Verbe et la Parole de l’Homme.
« Si l’Amour est le roi, l’homme est son serviteur, puisqu’il n’y a pas de Création ni de vie sans Amour et l’homme n’est que l’instrument de cette divinité qui se repende dans toutes les choses pour exister.
« L’Amour fait chanter le poète, lequel chante La Nature ; il raconte à l’Ami et sa Mi, unit les mains paisibles des amants, leur étreinte douce et sacrée, l’amour qui les relie à l’Univers. »
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Traduit à l’espagnol
El Amor
« ¿Quién es ese pescador que agita La Naturaleza y La Creación?»
« Es el Amor, principio de atracción y de gravedad, que une los seres y las cosas, gracias a sus fascinaciones recíprocas. Sin él, nada existiría.
« El amor se sostiene como una caña de pescar, como el arco y la flecha para cazar o las manos para recoger los frutos. Es una actividad constante entre el pescador, el pez, la caña, los anzuelos y los cebos.
« Al igual que un Cupido con sus útiles de caza, el pescador verifica la flexibilidad de su caña de pesca, la resistencia del hilo de su propio arco tendido, que irá a buscar la frágil criatura o presa donde se insertará su flecha, el anzuelo.
« El Amor Impalpable escondiéndose, preside mejor al sentimiento de las cosas, escondiéndolas y reuniéndolas sin que ellas lo sepan, puesto que Madre Naturaleza, hace con el hombre, lo que este hace con los animales y las plantas: juntarlos, alimentarlos y comerlos.
« Como en el juego de las atracciones, no siempre es fácil saber qué es lo que atrae y qué es lo que es atraído, a causa de una reciprocidad de las necesidades, y ello, a pesar de actitudes a menudo diferentes, que conducen al error.
« El amor es el verbo por excelencia, y en los actos, el primero de todos: sin él, no hay vida, ni sucesión, ni reproducción, ni memoria.
« Es el amor que une y completa los últimos años de vida con el nacimiento, en un círculo de inteligencia y comprensión paciente de todo sufrimiento, soledad o indiferencia que los seres puedan soportar.
« El Amor, es la acción por excelencia entre los seres; la voluntad de La Creación en La Naturaleza, y eso, aunque cada individuo supone actuar según su única voluntad; mas las numerosas sorpresas de La Creación, lo llevan a pensar más bien, que él responde a una voluntad y a una realidad, otra que la suya.
« En los juegos del Amor, es necesario saber pescar, manejar la red, ir hacia el horizonte y establecer relaciones entre el hilo de pesca tendido y los cebos, presentándose como una proposición, como una intención, distinta à reconocer los lugares, elegir los buenos momentos y tener la paciencia de esperar, hasta sentir que algo cayó en el anzuelo, y luego, lograr retirar su pesca sin que el hilo se rompa.
« Para pescar El Amor, es necesario de zambullirse en el fondo del corazón, en el objetivo mismo, y luego, como para siempre, permanecer suspendido de un hilo, como un gusano.
« Y así, a través de este señuelo, quedar enlazado a todas las otras cosas; puesto que si los unos y los otros se van, El Amor es eterno en la memoria de esos que vienen y se conectan à él, el inmortal Amor.
« Si hay mucha pasión en los juegos del Amor, esta agitación no dura más que un momento, el resto del tiempo, es de calma y serenidad.
« El amor es fiel y apoya, guía y garantiza La Naturaleza, hace eterno el recuerdo de la realización de todo eso que fue, en lo que hoy es. Estas son las actividades con las que El Amor se inspira.
« Así, lo que conecta a Hija Naturaleza con Madre Creación, es el Amor: hijo del Hombre y Origen de todas las cosas, puesto que Engendramiento es Amor, y no hay el uno sin el otro.
« Un juego constantemente renovado de atarse por los extremos, por el sexo de todas las cosas, porque X es la multiplicación, la fertilidad, el florecimiento de la vida, el Ser antes de la letra.
« Y letra, antes del Ser, el Amor es la unión del Padre, la Madre y el Hijo, de la Vida y la Muerte; es la ley de la Naturaleza, de la Creación y del Universo, a través del Verbo y la Palabra del Hombre.
« Si el Amor es el rey, el hombre es su servidor, ya que no hay Creación ni vida sin Amor y el hombre no es más que el instrumento de esta divinidad que se distribuye en todas las cosas para existir.
« El amor hace cantar al poeta, el cual canta La Naturaleza; él le cuenta al Amigo y a su Mi; une las manos pasibles de los amantes, el abrazo dulce y sagrado, el amor que los liga al Universo. »
Les pêcheurs de péchés
Les pêcheurs de péchés, pêchent dans les eaux du Bien et du Mal; certains pêchent beaucoup et d’autres peu ou rien, car le péché c’est une denrée très rare. Une minorité d’entre eux, pêche au nom du Père et les autres au nom du Fils, mais presque personne ne pêche au nom de “S”, car cela leur semblerait absurde. “S” c’est l’hameçon du Saint-Esprit que guide tous les actes de la pêche ; un objet d’intercession que conduit du Fils au Père. |
La plupart des pêcheurs attrapent beaucoup de poissons, ce qui est un avantage mais aussi un drame, puisque malgré tous les appâts et hameçons jetés, très peu ou aucun péché ne tombe dans ces filets. Pour la société de pêcheurs des eaux du Bien et du Mal, cette situation est très difficile d’accepter, puisqu’elle génère beaucoup de jalousies, envies et rivalités. |
Malgré cela, les pêcheurs continuent leur activité chaque jour, en jetant ses filets à l’eau dans la matinée, et en les retirant dans l’après-midi, généralement chargés de poissons, mais sans retrouver le plus infime péché, puisque dans les eaux du Bien et du Mal est plus fréquent de pécher Mal. |
Et si quelqu’un arrive à pécher le Bien, la prochaine fois aspirera a pécher avec “S”, nom de l’hameçon avec lequel se pèchent les péchés et non pas les poissons. “S”, étant le signe du Saint Esprit qui réunit le Fils et le Père dans le même Être. Unité où se réunissent les Êtres Humains qui ont connu Amour et Colères, Lumière et Ténèbres, Joie et Tourments, Imagination et Désirs ; car le péché c’est l’unité du Bien et du Mal. |
Et puisque le Péché se définit avec la lettre “S”, le Fils définit le péché à travers le Verbe Être, en se jetant dans les profondeurs des eaux du Bien et du Mal, pour vivre sans commencement, sans terme ni limites. |
La “S” est la signature de l’Être, que se trouve comme attrapé dans le cœur de “S”, lequel aussi est péché et poisson comme le produit de la pêche. Et tel que le pêcheur retire des eaux les poissons, le Père retire le Fils du Mal pour l’amener au Bien, et ainsi, des Ténèbres à la Lumière et de la Mort à la Vie. Pour qu’une telle pêche soit possible, il a été nécessaire que le Fils devienne péché, et s’offre ainsi au Père. |
Deux activités qui se croissent ; une, qui monte verticalement depuis les tréfonds de l’abîme, et traverse l’espace infini jusqu’au sommet du Ciel, où le Fils accède à la lumière du Père Céleste ; et une autre, horizontale, qui se déplace depuis les confins de la Mer aux rivages de la Terre, où le Fils accède à l’Amour et à la Tendresse de la Mère Nature. |
La “S” c’est l’Être de ce croissement. Centre de intercession de l’hameçon qui attrape le Cœur dans les eaux de la Terre, et l’amène au Ciel. C’est la Croix, où surgit la Vie et la Création, où le Cœur de l’homme irradie jusqu’au plus profond de l’Ame, laquelle ainsi libérée dans le Saint Esprit, monte depuis le Fils jusqu’au Père, transcende le Humain et rentre dans le Divin. |
Los pescadores de pecados
Los pescadores de pecados, pescan en las aguas del Bien y del Mal; algunos pescan mucho y otros poco o nada, ya que el pecado es un recurso muy raro. Una minoría de entre ellos, pesca en nombre del Padre y los otros en nombre del Hijo, pero casi nadie pesca en nombre de “S”, puesto que eso les parecería absurdo. “S” es el anzuelo del Espíritu-Santo que guía todos los actos de la pesca; un objeto de intercesión que conduce del Hijo al Padre. |
La mayoría de los pescadores atrapan muchos pescados, lo cual es una ventaja pero también un drama, ya que pese a todos los cebos y anzuelos lanzados, muy poco o ningún pecado cae en sus redes. Para la sociedad de pescadores de las aguas del Bien y del Mal, esta situación es difícil de aceptar, ya que genera muchos celos, envidias y rivalidades. |
Pese a ello, los pescadores continúan su actividad cada día, echando sus redes al agua por la mañana y retirándolas por la tarde cargadas de pescados, pero sin encontrar el más ínfimo pecado, ya que en las aguas del Bien y del Mal, es muy frecuente pescar Mal. |
Y si alguien llega a pescar Bien, la próxima vez aspirará a pescar con “S”, nombre del anzuelo con el que se pescan los pecados y no los pescados. “S”, siendo el Signo del Espíritu Santo que reúne al Hijo y al Padre en el mismo Ser. Unidad donde se reúnen los seres humanos que han conocido Amor y Cóleras, Luz y Tinieblas, Alegría y Tormentos, Imaginación y Deseos; ya que el pecado es la Unidad del Bien y del Mal. |
Y como el pecado se define con la letra “S”, el Hijo define el pecado a través del Verbo Ser, arrojándose en las profundas aguas del Bien y del Mal, para vivir sin comienzo, sin término ni límites. |
La “S” es la signatura del Ser, que se halla como atrapado en el corazón de “S”, el cual también es pecado y pescado como el producto de la pesca. Y tal que el pescador retira de las aguas los pescados, el Padre retira al Hijo del Mal para llevarlo al Bien, y así, de las Tinieblas a la Luz y de la Muerte a la Vida. Para que una tal pesca sea posible, ha sido necesario que el Hijo se vuelva pecado, y se ofrezca así al Padre. |
Dos actividades que se cruzan; una, que sube verticalmente desde las profundidades del abismo, y atraviesa el espacio infinito hasta la cúspide del Cielo, donde el Hijo accede a la luz del Padre Celeste; y otra, horizontal, que se traslada desde los confines del Mar a las orillas de la Tierra, en donde el Hijo accede al Amor y a la Ternura de la Madre Naturaleza. |
La “S” es el Ser de ese cruce. Centro de intercesión del anzuelo que atrapa al Corazón en las aguas de la Tierra, y lo lleva al Cielo. Es la Cruz, donde surge la Vida y la Creación, donde el Corazón del Hombre irradia hasta lo más profundo del Alma, la cual así liberada en el Espíritu Santo, sube desde el Hijo al Padre, trasciende lo Humano y llega a lo Divino. |